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Frozen Pizza

vendredi 27 avril 2007

Conférence au Heysel le 4 mai

Après le succès retentissant de ma conférence à Waterloo[1], on m'a de nouveau demandé de donner une conférence sur le Logiciel Libre.

Celle-ci se déroulera dans le cadre de l'Expo-Sciences, organisée les 3, 4, et 5 mai prochains par les Jeunesses Scientifiques de Belgique.

Pour cette édition de l'Expo-Sciences, le BxLUG, en collaboration avec Ubuntu-be va faire quelques présentations et démonstrations de Logiciels Libres.

Ma conférence aura lieu le vendredi 4 mai à 10h30 au palais 3 du Heysel. J'y parlerai en gros du Logiciel libre (côté pratique et philosophique), leurs avantages et inconvénients, les standards ouverts et l'inter-opérabilité. Je parlerai ensuite en particulier de la distribution Ubuntu, et de la communauté libre dans son ensemble (LUGs, forums d'entraide, ...).

Le même jour, dans l'après-midi, Nicolas Pettiaux[2] donnera deux conférences plus axées sur l'aspect pratique des Logiciels Libres. Sa première conférence sera axée sur le Logiciel Libre dans l'enseignement, et la seconde sur l'utilisation des Logiciels Libres dans la vie de tous les jours.

Si vous êtes intéressés par le sujet ou que vous voulez m'encourager, n'hésitez pas à venir nombreux pour me voir le vendredi matin au Heysel !

Notes

[1] huhu ^_^

[2] Oui, aussi un Nicolas

I had lost my edge, I'm back on the bleeding one

Je ne me sens plus vivre,
Et mes sens émoussés
Ne me rendent plus libre,
Tentent de m'achever

Mon esprit délabré,
Lui si vif, autrefois,
N'est plus si affamé,
Ne me laisse le choix

C'est ainsi qu'il faut faire.
Il n'est d'autre façon
Pour que se régénèrent
Mon être et ma passion.

C'est pourquoi je renais,
Et tout semble plus pur.
Mon esprit reprend pied
Plus aiguisé, plus sûr.

À nouveau la puissance
Enveloppe mon corps.
Plaisir et jouissance,
Plutôt que drame et mort.

C'est ainsi que s'achève
L'étape dangereuse,
La spirale, le rêve,
Qu'est l'épreuve amoureuse.

Nicolas da Luz Duque

mardi 24 avril 2007

Compiliens

Un compiliens très court cette fois-ci, mais le 2e article vaut bien d'être posté tout de suite...

Notes

[1] Voir ma note précédente

jeudi 19 avril 2007

Roman - Mon coup de coeur BIFFF 2007

Tous les ans, au BIFFF il y a un film qui sort du lot, qui marque plus. Cette année il s'agit de Roman, un chef d'oeuvre de romantisme noir et d'humour décalé.

Mélanger le macabre et l'amour est un thème récurrent pour le couple Bettis-McKee. Rappelez-vous, Angela Bettis était l'actrice principale de May et de Sick Girl. Lucky McKee, quand à lui, est le scénariste et le réalisateur de May. Il avait aussi réalisé Sick Girl. Vous comprenez dès lors pourquoi je les qualifie de "couple", d'autant plus qu'ils disent eux-même être des "âmes soeurs au niveau artistique"...[1] McKee a aussi récemment réalisé The Woods[2], dans lequel Bettis joue aussi, et ils sont en train de tourner Red dans lequel Bettis interprète aussi un rôle. C'est dire s'ils sont inséparables ;-) .

Affiche Roman Cette fois-ci, par contre, ils ont inversé les rôles: Bettis est passée derrière la caméra, tandis que McKee interprète le personnage principal: Roman.

Le scénario, comme je l'ai dit, joue encore une fois sur l'Eros/Thanatos, thème abordé avec beaucoup de justesse, de finesse, et d'humour. Roman est un ouvrier métallurgiste, plutôt associal et bizarre, qui est secrètement amoureux de sa voisine. Quand il arrive enfin à trouver le courage de l'aborder, tout semble bien parti pour qu'il arrive à conquérir le coeur de la belle, jusqu'à ce qu'il dérape, et qu'il la tue involontairement dans un moment de folie. À partir de ce moment, il est rongé par le remord, l'amour qu'il porte toujours à la défunte, et un nouvel amour naissant pour cette nouvelle voisine qui vient d'emménager...

La réalisation de Roman est tout bonnement incroyable, surtout quand on sait que c'est le premier film réalisé par Angela Bettis. La simplicité, les couleurs, les plans surprenants : tout participe à l'ambiance un peu folle de la vie de ce romantique invétéré (qui a bien mérité son prénom). Les scènes de rêves sont impressionnantes, très artistiques, et les plans près du lac sont à la fois romantiques, macabres et drôles (ce qui doit être extrêmement difficile à réaliser, même si Angela Bettis le fait paraître trivial).[3]

Je finirai sur ces bons conseils: regardez Roman, regardez May, regardez Sick Girl[4]. Angela Bettis et Lucky McKee sont des artistes à surveiller pour les cinéphiles amateurs de romantisme macabre, surtout quand ils font des projets à deux.

Notes

[1] Ça laisse rêveur

[2] Qui devrait sortir dans pas longtemps en Europe

[3] Ici, tu devrais avoir compris qu'il faut acheter le DVD, papa ;-)

[4] C'est mon ordre de préférence, tiercé dans l'ordre.

La complainte du RH

Ceci est un poème que j'ai composé très récemment pour le cours d'informatique et société. Dans le cadre de ce cours, nous avons présenté en groupe un "exposé" sous la forme de saynètes. Pour remettre les choses dans leur contexte, il s'agissait d'illustrer un cas dans lequel les informaticiens ne prenaient pas en compte l'avis des personnes travaillant au département ressources humaines (RH) de l'entreprise, ce qui causait pas mal de problèmes par la suite.

Sur un coup de tête comique/absurde, nous avons décidé de faire un "entracte" durant lequel je réciterais un poème ad hoc écrit pour l'occasion. Le voilà donc.

La complainte du RH

Est-il une raison unique
De continuer le combat?
Cette vaine aventure épique
Qui jusqu'ici guidait mon pas?

Entouré d'incompréhension,
D'oreilles fermées à mes plaintes,
Je ressens en moi la tension
Qui me marque de son empreinte.

La tâche que j'ai accomplie
N'aura donc pas eu de raison,
Et c'est bien amer que je plie
Faute de meilleure oraison.

Pourquoi ces informaticiens
Ne peuvent-ils donc tous l'admettre?
Nier sciemment le besoin
C'est bien à l'échec se soumettre!

Pourquoi encor mes arguments,
Faute d'être au moins reconnus,
Sont ignorés si promptement
Et ne sont jamais débattus?

À quoi bon continuer encore?
À quoi bon vivre cette vie?
J'en viens à préférer la mort,
Quelques pilules, et tout j'oublie...

Nicolas da Luz Duque.

Oui, c'est très sombre (qui a dit "encore!" ?), mais c'est l'effet recherché pour donner une atmosphère surjouée et complètement dramatique à l'entracte.

dimanche 15 avril 2007

b-Shake, un groupe de pop/rock alternatif belge qui monte

Cover de l'EP de b-Shake b-Shake est un groupe de pop/rock alternatif qui a fait ses débuts récemment sur la scène belge. Entre des influences de Nirvana, les Red Hot Chili Peppers, Pearl Jam, K's Choice, et j'en passe, b-Shake se retrouve avec un son proche des chansons les plus calmes d'Incubus, avec des clins d'œils fréquents aux groupes qui ont bercé la jeunesse de leurs membres.

J'ai eu l'occasion de les voir en concert à l'art-ô-bases, et encore plus récemment au festival Emergenza. Comme vous le savez peut-être, le festival Emergenza rassemble des jeunes artistes de tous poils et les met en compétition. Après chaque groupe, le public vote s'il a aimé. Les groupes remportant le plus de votes sont ensuite sélectionnés pour le tour suivant.

b-Shake avait déjà passé le premier tour, et le spectacle s'annonçait donc intéressant quand j'ai été les voir le vendredi 6 pour le deuxième tour. Ça n'a en effet pas raté, et bien que je les aie trouvés moins en forme qu'à l'art-ô-bases ce soir là, ils sont arrivés à séduire le public : ils ont ainsi fini premiers de la compétition !

La prochaine étape du festival Emergenza se déroulera en juin au Botanique, mais nous n'avons pas encore de date précise. Je vous tiendrai cependant au courant dès que la date sera dévoilée, mais vous pouvez prendre les devants si vous devenez fans et visiter régulièrement leur agenda sur leur site. On peut déjà y voir que leur prochain concert, le 24 avril, sera gratuit et se déroulera sur le campus de la Plaine à l'ULB[1].

Si vous voulez écouter la musique de b-Shake tranquillement installés chez vous, sachez que leur EP "Our Future Begins Here" est disponible gratuitement sur Jamendo ! Leur son est déjà étonnamment professionnel, et ils ont obtenu une plutôt bonne critique de Jamzine.

Pour ma part, je préfère les voir en live, car le chanteur, Malik, est une vraie bête de scène ! Son énergie débordante le fait bondir dans tous les sens. On voit qu'il prend son pied, et il nous le fait prendre aussi, immanquablement.

P.S.: Spéciale dédicace à Caro, la bassiste du groupe, dont le talent m'a impressionné dès le premier concert !
P.S.2.: Essayez de plus péter vos jacks sur scène, les gars ! ;-)

Notes

[1] J'y serai, qui m'aime me suive !

jeudi 12 avril 2007

Compiliens

mercredi 11 avril 2007

Microsoft est mort, le web 2.0 l'a remplacé ! Ou pas...

Microsoft est mort, selon Paul Graham.

Je ne suis pas aussi catégorique, et je pense que M$ peut et continue à faire beaucoup de mal à l'industrie du logiciel.

Je ne suis pas non plus tellement d'accord avec l'idée (pourtant de plus en plus répandue) que le desktop est mort. Les applications web "2.0"[1] peuvent en effet remplacer certaines choses, mais le confort d'utilisation n'est selon moi pas le même. De plus, la connexion 24/7 est encore un rêve lointain. Le wireless est une technologie qui, avouons-le, marche mal, poussée trop tôt par les constructeurs avides de profit rapide. Elle a besoin d'être remplacée avant que l'on puisse prétendre à une connexion à internet omniprésente.

Pour finir, un problème éthique se pose aussi par rapport à ces applications web.

D'un côté nous avons les applications comme GMail et GCalendar, qui repèrent les mots-clefs intéressants dans les mails que vous écrivez ou les rendez-vous que vous prenez. En les utilisant, vous abandonnez une partie de votre vie privée, quoi que la charte d'utilisation des données personnelles dise. En effet, les entreprises qui fournissent ces applications sont financées presque exclusivement par la publicité ciblée, qui utilise toutes les informations que vous leur donnez pour établir votre profil consommateur, et vous proposer ensuite les produits qui rentrent dans ce profil.

D'un autre côté, on peut trouver des sites web collaboratifs comme Facebook ou LinkedIn. Ces sites web sont très utiles et ce sont les utilisateurs qui gèrent le contenu. Tout ça est bien beau, mais en plus de rassembler des informations personnelles à des fins publicitaires, ces sites sont aussi ce que Peter Saint-André appelle des "silos", incapables de communiquer entre eux. Imaginons que je veuille créer un site "à la Facebook". Les utilisateurs de mon site ne pourront pas voir les utilisateurs de Facebook. S'ils ont des amis sur Facebook, ils seront obligés de créer un compte sur Facebook et un compte sur mon site. Ça peut parraitre normal pour certains d'entre vous, mais pour moi ce genre de service s'apparente à un service d'e-mail dans lequel les adresses @foo.com ne pourraient pas envoyer d'e-mails aux adresses @bar.com mais seulement aux adresses se terminant par @foo.com. Oui, ce serait absurde.

C'est pourtant aussi ce qui se passe depuis des années dans le monde de la messagerie instantanée, avec des utilisateurs de Yahoo messenger d'MSN, d'AOL, de Gadu-Gadu, incapables de discuter entre eux. Le problème est que chacun utilise un protocole propriétaire et une architecture de services centralisée (les utilisateurs d'MSN, par exemple, sont obligés de passer par un serveur microsoft pour se connecter). Il faut se créer un compte par fournisseur.

Google est le seul à avoir joué le coup finement sur ce point en utilisant la technologie de jabber, et Google talk est totalement compatible avec jabber. Jabber utilise un protocole ouvert, que tout le monde peut utiliser, et fournit aussi un service décentralisé. Cela veut dire que n'importe qui, s'il le souhaite, peut créer son serveur jabber sur lequel il se connectera, et il sera alors capable, via ce serveur, de contacter tous les utilisateurs jabber connectés sur tous les autres serveurs jabber au monde. Oui, comme l'e-mail.

Ploum parlait justement récemment des standards et protocoles ouverts sur son blog, et pour ne pas être redondant (chose que les informaticiens détestent), je pointe simplement vers son billet pour conclure.

Si vous voulez vous mettre à jabber (que ce soit avec un compte GMail ou à partir d'un autre serveur, vous pouvez trouvez pas mal d'informations en français sur le site de JabberFR

Notes

[1] aussi ridicule que soit ce nom, il a l'air de rester

mardi 10 avril 2007

Son nom est gravé sur mon coeur

J'ai écrit plusieurs poèmes ces derniers temps, mais celui-ci n'est ne compte pas parmi ceux-là. Je n'ai pas pu résister à l'envie de vous faire lire un de mes tout premiers poèmes, écrit en secondaire pour une fille à qui je ne l'ai évidemment jamais fait lire...

Il est évidemment dégoulinant de sentiments éthérés et pourtant ô combien destructeurs pour le pauvre amoureux transi que j'étais alors. Je vous laisse à votre lecture. N'hésitez jamais à déposer un commentaire constructif mais soyez indulgents pour celui-ci : j'étais jeune !

Son nom est gravé sur mon coeur

Pourquoi faut-il qu’à chaque aurore
La même passion me dévore ?
Pourquoi faut-il qu’elle détruise
Mon âme frêle à sa guise ?

Et comment trouver le repos
Quand devant toi fuient mes mots ?
Non point qu’ils sortent de ma bouche,
En ta présence, ils s'effarouchent.

Ils quittent soudain mon esprit
Quand, avec toi, d’amour transi,
Je m’émerveille de tes yeux,
Et ton visage entier m’émeut.

Je ne puis plus dormir la nuit
Car ton souvenir m’envahit.
Et je ne puis trouver la paix
Car je suis seul et je me tais.

Là, doucement, je t’imagine,
Dormant, plus belle que divine,
Pelotonnée dans ton lit,
Et puis je n’ose faire un bruit.

Car j’ai trop peur de t’éveiller,
De troubler ta sérénité,
Mais quand j’entends battre ton cœur,
Je pourrais patienter des heures.

Te dévoilerai-je un jour
L’intensité de mon amour ?
Mais peut-être est-ce déjà fait
Si tes mains tiennent ce billet…

Nicolas da Luz Duque

dimanche 8 avril 2007

BIFFF - Compte rendu de la soirée d'ouverture

Affiche BIFFF 2007 Le BIFFF, pour moi, c'est devenu une tradition. Depuis que je suis basé à Bruxelles, je n'en rate pas un. Cette année ne fait pas exception et j'étais donc présent à l'ouverture ce jeudi.

L'organisation

Tout d'abord, cette année, le lieu principal hébergeant le BIFFF n'est plus le passage 44 comme c'était le cas les années précédentes. Cette édition, le festival se déroule au magasin 4, et je dois dire que c'est plutôt impressionnant. Tout est prévu: petite restauration et bar (pour les abonnés qui se font des journées entières sur place),le plateau de radio pour faire du live depuis le festival, une salle de concert, des expos d'art, et naturellement les animations habituelles (maquillage, créatures bizarres[1] se promenant au milieu de la foule, ...). Les ambitions ont clairement été revues à la hausse, et l'endroit peut accueillir beaucoup plus de monde qu'auparavant.

À l'entrée de la seconde salle, des vigiles armés de détecteurs de métaux nous signifient qu'il sera impossible de rentrer avec nos GSMs. Consternation. Le film de ce soir est une avant-première mondiale et ils ont peur qu'on filme la séance avec nos GSMs... Bande de paranos... Les sacs sont fouillés, les gens passés aux détecteurs de métaux. Nous nous dirigeons vers le vestiaire pour y déposer nos outils de pirates en herbe. File de 20 minutes pour le vestiaire. Nous retournons au contrôle anti-délinquant de l'audiovisuel. Après la greffe de rétines munies de DRMs, nous pouvons enfin rentrer. Le temps de prendre quelques boissons, nous nous dirigeons vers la deuxième file pour accéder à la salle de projection. Une heure d'attente, le film commencera en retard. Nous sommes décidément arrivés trop tard, et nous n'aurons que des places merdiques, dans un coin...

Discours d'introduction interminable de remerciements. Arrivée de la guest star: Jean-Claude Van Damme ! Consternation, rires. Selon la tradition, on lui demande une chanson, qu'il refusera. Après avoir exhibé leur clown et posé quelques questions pour la forme (pas de philosophie, juste le boulot), on le range dans sa boite, et le film peut commencer.

Affiche Sunshine

Le film

À l'affiche, comme je l'ai mentionné, une avant-première mondiale: Sunshine, réalisé par Danny Boyle (Trainspotting, 28 days later).

Fendons-nous d'un petit pitch[2]. Le soleil va s'éteindre et l'humanité va donc disparaître. Un seul moyen de sauver tout le monde: il faut faire exploser une bombe géante en plein coeur du soleil, pour le "relancer". L'Icarus II part donc pour faire "naître une étoile dans une étoile". Icarus II ? Ben oui, la mission précédente a disparu sans laisser de trace, et personne ne sait ce qui a pu arriver...

Côté réalisation, c'est un parcours presque parfait. Boyle est fidèle à lui-même et mène sa barque d'une main de maître. Plans inventifs, omniprésence du soleil (c'est presque le personnage principal), ambiance claustrophobe superbement rendue... À certains moments, cependant, la pression se relâche, et l'immersion s'en ressent. Au BIFFF, c'est une chose qui ne pardonne pas, vu l'ambiance régnant dans la salle.

Côté scénario, je dois avouer avoir été relativement déçu. Certaines ficelles scénaristiques sont un peu décevantes, car assez peu imaginatives, et on voit venir la fin avec ses gros sabots. Je ne peux pas en dire plus sans spoiler[3].

D'un point de vue plus objectif, j'admets que je suis plus fan de fantastique que de science-fiction, et que ce film est un film de science-fiction pure. Je dirais qu'il s'agit d'un thriller SF à sensations, et que si on arrive dans la salle en le considérant comme tel, on ne peut pas être déçu. Il ravira les fans de SF !

Avis aux amateurs, il passe ce soir en avant-première belge à l'imagibraine !

Notes

[1] non, pas Staz !

[2] Non, je ne faisais pas référence à la célèbre coiffure de geisha...

[3] Et ce n'est pas mon genre, n'est-ce pas Guillaume?

jeudi 5 avril 2007

Une idée de cadeau

Vous ne savez pas quoi offrir à votre dulcinée ? Voici une petite idée de cadeau...

Et voilà, je viens de ruiner ma compat W3C pour embedder une vidéo en flash. Je me sens sâle...

Compiliens

lundi 2 avril 2007

Silence

Ce silence si souverain
Suscite une angoisse en mon sein :
Je suis si frêle et si fébrile
Face à ce gouffre indélébile.

Soudain, le plomb : tous les mots pèsent ;
Et, aussi brûlants que des braises,
Ils éclatent comme des gouttes
Sur mon dos que leur rage voûte.

C'est cet aveugle acharnement,
Qui me laisse las, impuissant,
Meurtrit mon coeur et puis mon âme
Et me fait sombrer dans l'infâme.

Nicolas da Luz Duque

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